1er module : Quelles sont mes qualités et comment je les utilise dans ma vie
La rencontre avec l’autre
Écrit par Volery Sylvie
Depuis quelque temps, je regarde les gens et certains de leurs comportements et je suis quand même un peu abasourdie de voir l’incompréhension qu’il peut y avoir entre eux.
Est-ce que je détiens la vérité ?
On oublie que l’autre nous fait grandir et nous montre une autre façon de penser afin de nous enrichir. Comment accepter que l’autre ne soit pas d’accord avec nous et garder notre opinion sans être blessé ou blesser l’autre.
Oser rentrer en contact avec une personne qui ne correspond absolument pas à nos critères sociaux et voir ce qu’elle a à nous offrir. La question qui revient tout le temps est « qu’est-ce que tu fais dans la vie ? » Aïe ! cette entrée en matière peut vous réduire à votre métier et à votre fonction.
Charles Pépin dans son livre* appelle cela la glu sociale. Elle peut vous faire passer à côté de personnes qui ont beaucoup de choses à vous amener et elle peut aussi entraver votre liberté, votre capacité d’ouverture aux autres.
La peur de se lancer parce que voir uniquement le monde et moi, mon angoisse et moi, mes responsabilités et moi… et si l’essentiel venait d’ailleurs que de mon nombril ?
Est-ce que je détiens la vérité ? Non, mais comment je peux rester ouverte à l’autre sans me sentir déstabilisée négativement ?
En travaillant sur sa confiance en soi, s’ouvrir à d’autres façons de penser, oser faire les choses d’une façon inédite.
La vraie vie c’est la rencontre avec l’autre afin de pouvoir construire son soi en pouvant aller à la découverte d’autres cultures, d’autres façons de penser. C’est le sel de la vie.
*livre la rencontre
J’ai envie de commencer cet article par une citation de René Char « si tu ne t’établis pas à l’extérieur de toi, tu ne pourras jamais savoir qui tu es ».
La vraie vie c’est la rencontre avec l’autre afin de pouvoir construire son soi en pouvant aller à la découverte d’autres cultures, d’autres façons de penser. Comme conséquence de ne pas pouvoir avoir de contacts, on se ratatine sur soi-même, on se sent diminué et étriqué.
On avait déjà du mal à se rencontrer avant le Covid mais celui-ci n’a fait qu’accentuer cette problématique.
Est-ce que cette période très spéciale nous fait prendre conscience qu’avant nous vivions dans une bulle, qu’on était bourré de certitudes, d’habitudes qui nous coupaient de vraies rencontres ? C’est aussi peut-être que le covid nous fait réfléchir en nous privant de l’essentiel, la vraie vie, qui n’est pas seulement constituée de divertissements comme le cinéma, les spectacles…
C’est pour certaine personne très cruel d’être privée de ce qui fait le sel de leur vie.
Malgré tout cela je peux préparer différemment mes prochaines rencontres en prenant conscience que la rencontre ne vient pas forcément que de l’extérieur mais aussi de l’intérieur de nous. En agrandissant son intérieur ou en lisant des livres que nous n’avons pas l’habitude de lire comme par exemple : un livre mystique pour quelqu’un de très cartésien. Cela va créer une ouverture de compréhension sur le sujet même si je reste avec mes convictions premières. Mais cela va me permettre de pouvoir rentrer dans le monde de l’autre afin d’aller à sa rencontre et peut-être me donner une autre perception du sujet. C’est aussi à cela que servent les rencontres, agrandir sa façon de penser, pour se donner l’opportunité de rencontrer d’autres personnes qui ne figuraient pas dans notre monde initial.
Au fait la rencontre est un combustible qui agrandit la vie, le rapport au monde, qui aide au développement des idées, qui élargit nos émotions et nos convictions.
Ce titre d’article m’a interpellée car ce n’est pas dans notre façon de penser ; effectivement cette philosophie nous vient de Chine « Wu Wei ». C’est un concept important dans le taoïsme. Littéralement, « wu wei » signifie « non action » « ou ne pas faire ». Dernièrement je suis allée suivre un cours et le formateur nous disait : quand vous ne savez pas quoi faire, « ne faites rien » ; là aussi c’est décoiffant. Mes neurones se mettent en effervescence ainsi que mes peurs.
Le psychologue américain Daniel Wagner (1948-2013), lors de ses travaux sur l’effet paradoxal des efforts conscients, a découvert que nous avons souvent tendance à saboter nos objectifs dès lors que nous cherchons à les atteindre. Il en a conclu que courir consciemment après le bonheur nous mène à la dépression. C’est comme se coucher tôt et essayer de s’endormir.
Mais cela ne veut pas dire qu’être statique ne signifie pas qu’on ne réfléchit pas, ce qui nous met dans une posture dynamique naturelle de quelqu’un d’actif et d’efficace.
Il y a deux façons de faire, soit de courir dans tous les sens ou d’oser s’arrêter, sentir ce qui est juste et accepter les évènements comme ils viennent. Les deux façons peuvent être justes selon le moment.
Quand je me remémore mes premières années professionnelles, je ne me posais pas de questions, je suivais le mouvement et la roue tournait normalement avec des hauts et des bas. Je ne forçais pas le mouvement et les peurs n’étaient pas présentes car je ne faisais qu’un avec la vie. Il m’est même arrivé d’avoir des bonnes surprises auxquelles je n’avais pas pensé, même pas imaginé.
Malheureusement plus nous vieillissons, plus nous sommes conscients des erreurs que nous pouvons commettre et quelles peuvent être les conséquences qui en découlent. Et cerise sur le gâteau le monde est en train de changer et nos points de repère sont en train de s’effondrer.
Il faut absolument éviter de se scléroser et oser penser différemment afin d’appréhender les futurs challenges.
Edward Slingerland disait ceci : les gens en état de « wu wei » ont l’impression d’être oisifs, alors qu’au même instant ils peuvent être en train de créer une magnifique œuvre d’art ou de gérer avec brio une situation complexe.
Il y a quelques milliers d’années les personnes ne percevaient pas les changements car ceux-ci prenaient environ 50'000 ans pour qu’ils soient effectifs. Puis cela a commencé à s’accélérer vers le 17e siècle pour que ceux-ci prennent plus que 150 ans. Et aujourd’hui nous sommes passés à 20 ans. Cela va sans dire que les humains ont de la peine à suivre.
La chercheuse coréenne Yuhyun Park, a comparé l’être humain et l’intelligence artificielle à un homme et son cheval. Le cheval est inévitablement plus rapide que l’homme, rien ne sert donc de chercher à le concurrencer sur ce terrain. Mais ce que l’homme peut faire, c’est s’entraîner et entraîner ses enfants à monter à cheval.
C’est bien évidemment une très jolie métaphore qui démontre qu’on ne va pas pouvoir régater au niveau de la vitesse mais, par contre, il faut continuer à cultiver son savoir être. Effectivement j’ai toujours entendu dire que les compétences humaines (soft skills) ne pouvaient pas se mesurer ni s’apprendre et qu’elles n’avaient pas d’importance en comparaison des aux compétences techniques (hard skills) qui eux elles sont mesurables.
Ma devise est : on peut tout nous enlever sauf ce que nous avons acquis en terme de connaissances générales, intellectuelles et surtout en connaissance de soi.
Pour Socrate, se connaître soi-même, c’est savoir donner le meilleur de nous-même. Ça veut dire faire gagner la raison et l’intelligence en toute situation !
Donc si vous me suivez bien nous avons en tout cas deux challenges en même temps, les intelligences artificielles et le covid19.
Tout laisse à penser que l’empathie, la créativité, la capacité à communiquer et le travail en équipe seront des compétences essentielles du monde de demain.
C’est ce qui rend ce type de compétences d’autant plus important, sachant qu’il est toujours plus difficile de communiquer quand on est pas là pour voir l’effet de ses paroles (télétravail).
L’histoire nous montre que lorsqu’une civilisation est face à des difficultés, ce n’est pas sa capacité technologique qui est plus opérante, c’est sa capacité à opérer des changements dans le mode de vie de ses membres*.
N’oubliez pas que la différence entre la machine et l’humain c’est le cœur.
*Patrick Drouot la révolution de la pensée intégrale
on line live Qui suis-je
Écrit par Volery SylvieOn line live Qui Suis-Je?
2ème module: votre impact et les autres
3ème module : communication et efficacité
Vous allez travailler sur la connaissance de soi, l’impact que vous avez sur les autres et quelles sont vos nouvelles opportunités en adéquation avec ce que vous êtes.
Je vous donnerais tout au long des modules des astuces pour améliorer votre regard sur vous, votre communication et l’impact que vous avez sur les autres.
Ce feedback vous sera très utile si vous avez envie d’aller plus loin soit en coaching individuel, une journée en interaction avec le cheval ou un cours 32 heures pour développer le leader qui est en vous.
Un email de confirmation vous parviendra avec les coordonnées pour le paiement (virement bancaire) ainsi que les éléments de préparation et lien pour le cours online.
Quelles sont mes qualités et comment je les utilise dans ma vie
- Découvrir vos modes de préférences psychologiques
- Mettre en lumière dans quelle circonstance vous les utilisez
- Prendre conscience des raisons qui sous-tendent votre vision du monde
Maximum 8 personnes selon l'ordre d'inscription
Cours on line live 1h15 |
Date :lundi 20 avril à 17h30 Prix : CHF 60.-- par personne sans prérequis quelles |
En quoi le horse coaching peut m’aider dans mes relation avec mes collègues ?
Écrit par Volery SylvieQui n’a jamais eu de problème d’entente avec une personne de son entourage professionnel ?
Cela nous amène souvent à la prendre en grippe et conduit alors inévitablement à un conflit larvé ou ouvert.
Mon constat, c’est que notre façon de voir les choses n’est pas la réalité et c’est ce que je veux vous montrer lors de séances de travail avec le cheval.
La voie du Kaizen
Écrit par Volery SylvieTout changement effraie. Au lieu d’infliger à notre cerveau ou à notre corps un changement radical, accordons-lui la stratégie des petits pas.
Il faut, premièrement, déprogrammer son cerveau, car il est ancré dans une résistance au changement avec une seule alternative : fuir ou combattre. La méthode des petits pas permet de contourner ce problème.
Voici la suite de ma saga de l’été sur les différentes façons de gérer son temps pour plus de performances dans sa vie privée et professionnelle.
Personnellement, j’ai tendance à procrastiner certaines tâches, à avoir des idées plein la tête et vouloir toutes les mettre en application. Toujours à la recherche de la meilleure méthode de travail, j’essaie d’optimiser mes journées dans le but de libérer du temps pour la créativité.
Cette année 2016 est, en numérologie, l’année du 9 ….donc du neuf. C’est tout ce que je vous souhaite pour cette nouvelle année et vous donne encore 7 raisons d’être optimistes.
- Prenons conscience du fait que les informations distillées par les journalistes ne sont qu’un petit aperçu de la réalité. Leur travail est concentré sur le négatif et les drames. Il existe également des événements positifs et de nombreuses personnes qui œuvrent pour le bien-être de la planète.
- 2)Crise = développement
Chacun de nous a dû surmonter des coups durs, tels que maladie, accident, perte d’emploi, décès. Une crise n’est pas forcément négative, tout dépend de la manière de l’aborder et de la gérer. Elle peut être une occasion de se poser les bonnes questions, de réfléchir sur notre situation et de la suite à donner à notre existence. Il s’agit alors d’en profiter pour une introspection et un changement dans notre vision des choses de la vie. (Une conférence et des cours seront prochainement organisés à ce sujet).
- 3)Que faites-vous pour faire progresser le monde ?
Dans la science quantique, tout est connecté, tous nos actes ont une influence sur le monde. Nos pensées négatives influencent notre entourage dans ce sens. Par conséquent, soyons positifs et tâchons de prendre l’habitude d’extraire de chaque situation le côté positif. Cette façon de voir le monde contribuera à le construire de la meilleure manière qu’il soit.
- 4)Nous sommes de plus en plus libres
Plusieurs études démontrent que notre civilisation est de moins en moins violente. Depuis la préhistoire, la violence ne cesse de diminuer. Jadis, un homme sur trois était assassiné, aujourd’hui la moyenne se situe aux alentours d’un sur seize mille, avec, bien évidemment des pics en tant de guerre. C’est toujours trop, mais nous pouvons également nous réjouir des avancées de la science et de la technologie.
Le niveau de vie a progressé : il y a suffisamment de nourriture sur la terre pour nourrir 9 milliards de personnes. La quantité de lignes téléphoniques est quasiment égale au nombre de personnes sur terre, une gigantesque toile d’araignée forme cette connectivité. Acceptons de nous remettre en question et nous nous sentirons de plus en plus libres.
- 5)Et quel est le rôle de la peur ?
Tineke Croese relève la chose suivante : « La réponse à la question du sens du mal ne peut être que personnelle : quel est pour moi le sens de la souffrance et des mauvaises choses qui surviennent dans ma vie ? Dans quelle mesure cela m’a façonné ? » De nombreuses personnes se posent ces questions.
Ces pensées démarrent dans la tête et se propagent finalement dans tout le corps, produisant ainsi de l’adrénaline influençant nos pensées. C’est là que nous entrons dans un cercle vicieux. Tout le monde connaît la peur, mais nul n’est tenu de la subir. Il faut la surmonter et la transformer en amour. Elle doit être notre meilleure alliée pour nous aider à nous dépasser pour le meilleur.
- 6)Vous avez toujours le choix
Lors d’un trajet en train Genève-Toulon, un curé prend place à mes côtés. Je lisais le livre de Laurent Gounelle « Les dieux voyagent toujours incognito ». Nous dissertons sur le thème du choix. Selon moi, chacun a le libre choix, alors que ceci n’était de loin pas aussi évident pour lui. J’ai légèrement révisé mon jugement, mais pense néanmoins que la majorité des personnes a le choix. Nous devons néanmoins modifier notre façon de vivre pour oser emprunter le chemin de la liberté.
- 7)Le monde est parfait pour développer votre conscience
Le monde n’est pas parfait, nous vivons des moments d’incertitude et de peur. Nous devons réfléchir à chacun de nos actes, afin d’en définir les impacts et les conséquences. Il en va de notre responsabilité.
25 décembre
Calendrier de l'Avent - Faire une synthèse
Bonjour!
Faites une synthèse de tout ce que vous avez noté, ressenti et posez votre objectif en le découpant en plusieurs étapes. Puis coloriez un mandala que vous avez ou que vous pouvez trouver sur internet afin d’ancrer votre objectif.
Si vous sentez le besoin de travailler plus en profondeur le moment présent, vos objectifs ou vos rêves, vous pouvez le faire grâce à mes cours. Pour une inscription d'ici fin janvier, un rabais de 10% vous est offert.
Je vous remercie pour votre fidélité et au plaisir de vous voir peut-être bientôt,
Je vous souhaite un joyeux Noël et formule tous mes voeux pour cette nouvelle année!
Sylvie Volery
www. quirao.ch
Plus...
24 décembre
Calendrier de l’Avent – La gratitude
Bonjour!
Que les moments soient joyeux ou pénibles, il existe toujours un sens, même si on ne le voit pas toujours sur le moment. J’ai appris à dire "merci" pour chaque petite chose que la vie met sur mon chemin. Juste "merci" pour un beau paysage, une belle rencontre, un bon repas, etc.
A quand remonte votre dernier "merci"?
Apprenez à être humble!
Sylvie Volery
www. quirao.ch
23 décembre
Calendrier de l’Avent – Rêves + authenticité = synchronicités
Bonjour!
Voici un précepte à méditer: lorsque nous sommes centrés et que nous sommes bien alignés avec notre rêve; lorsque nos désirs d'âme sont cohérents et authentiques, la vie nous envoie des cadeaux en termes d'informations, d'événements et de rencontres pour faire avancer notre projet.
Il est dès lors important d'apprendre à se connaître et à poser des rêves qui nous correspondent vraiment.
Bonne réflexion!
Sylvie Volery
www. quirao.ch
Le 22 décembre
Calendrier de l’Avent – La méditation
Bonjour!
Méditer permet de se recentrer sur soi et sur ses rêves. Il existe plusieurs manières de méditer. Vous pouvez vous asseoir au calme, mettre une musique relaxante et vous concentrer sur votre respiration pendant 10 minutes; vous pouvez aller marcher dans la nature en vous concentrant sur vos pieds. A vous de trouver celle qui vous convient. Si vous souhaitez de l'aide, il existe de nombreuses séances guidées sur youtube, ainsi qu'une littérature abondante sur le sujet.
Bonne détente!
Sylvie Volery
www. quirao.ch
Le 20 décembre
Calendrier de l’Avent – L’art de la conversation
Bonjour!
Etre dans une véritable écoute de l’autre affine notre présence. Commencez par remplacer une conversation "automatique" (un simple bonjour) par un échange mêlant curiosité du moment et inspiration du lieu. Pourquoi? Parce que l’autre est toujours une source de richesse et il peut vous donner une idée ou une information pour faire avancer votre projet.
Soyez à l'écoute des autres!
Sylvie Volery
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